La réponse.
Malheureusement, c’était trop ambitieux et un tweet en octobre 2016 annoncera que le projet est totalement annulé.
Pourquoi un tel revirement ?
L’ entreprise avait reçu une lettre des autorités américaines qui stipulaient que le boîtier devait être validé par l’ administration avant sa commercialisation, puisqu’ il s’agissait de changer le comportement d’ un véhicule approuvé à la vente sur le sol américain.
" Comma one " se devait de recevoir les mêmes autorisations que n’ importe quel constructeur automobile.
Faute de quoi, l’ entreprise devait payer une amende qui pouvait monter à 21 000 $ par jour.
Pour obtenir ces autorisations, comma one devait répondre avant une date butoir à une série de 15 questions très précises sur le fonctionnement du boîtier. La réponse de George Hotz fut très claire : il préférait consacrer sa vie à créer une technologie géniale plutôt que de répondre aux demandes des régulateurs. Et tant pis pour les clients potentiels et tous ceux qu’il avait entraîné avec lui dans l’ aventure, même si l’ entreprise derrière le comma one va maintenant se concentrer sur d’ autres produits et d’ autres marchés.
Que penser de cette aventure qui s' est terminée en eau de boudin ?
J' vous laisse à vos méditations ..?
@+