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Sujets - E18i3

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Comptoir / Datathon à St-broc ...
« le: avril 08, 2017, 11:03:41 pm »
Salut à tous,

De passage sur St-Brieuc, quel ne fut pas ma surprise lorsque je suis tombé par hasard sur
https://www.eventbrite.fr/e/billets-datathon-mobility-32084006126
et y rencontrer un camarade du côté lumineux.
La remise des prix aura lieu demain, alors si vous êtes dans les parages ...
   
                 @+

167
Information générale / JDLL 2017 de Lyon
« le: mars 27, 2017, 12:34:20 pm »
Salut à tous,

"Demandez l' programme, demandez l' programme", mais de quoi me demanderez-vous ?
Ben, de la 18ème journée du logiciel libre, du 1 au 2 avril 2017, mais sur Lyon.
Pour les plus courageux, c 'est par ici

                              @+  8)

168
Salut à tous,

Comme l' intitutlé le stipule, je vous propose la création d' une clé bootable (soit pour une install direct ou pour tester en live) à partir du terminal. Attention, la méthode dépend du système d' exploitation (perso Debian) que vous utiliserez et du fichier ISO.
On commence :

Insérez votre clé USB d' une taille supérieur à la taille de l' image iso (que vous aurez au préalable téléchargé).
En root, tapez :

fdisk -l

Vous devriez avoir un retour du type :

Disk /dev/sdd: 3 GB, 3997486080 bytes
  255 heads, 63 sectors/track, 486 cylinders
  Units = cylinders of 16065 * 512 = 8225280 bytes
 
     Device Boot      Start         End      Blocks   Id  System
  /dev/sdd1   *           1         487     3911796    6  FAT16


Repérez le volume /dev/sdx à coté de Disk qui correspond à votre clé USB grâce au système de fichier (FAT 16 ou FAT 32) et à sa taille. Dans l' exemple, c'est /dev/sdd.

Attention, soyez certain de votre repérage. Si vous vous trompez de lettre, vous pouvez effacer votre disque dur !


Il est indispensable de démonter tous les points de montage de votre clé, pour ce faire, toujours dans le terminal :

umount /dev/sdd

Bien sûr, vous remplacerez sdd par votre propre partition ou vos partitions si vous en avez plusieurs sur la même clé.

Maintenant, tapez toujours en root :

dd if=image.iso of=/dev/sdx bs=4M && sync
Bien sûr, vous remplacerez image.iso par le répertoire où est situé votre fichier iso,
vous remplacerez également le "x" de "sdx" par la lettre correspondant à votre volume.

Attention, il s' agit bien du volume, et non de la partition, qui porte, elle, un numéro, donc si vous avez quelque chose du type
"sdf1" vous ne taperez que "sdf ".

Lorsque le terminal vous rendra la main, c' est fini, vouali, voualou, vous disposez maintenant d' une clé bootable pour tester votre distro en live ou procéder à une installation, durant une install party par exemple, tout dépendra du type d' ISO que vous aurez récupéré.
L' intérêt de cette procédure, pas d' install d' un logiciel supplémentaire pour faire cette clé sur votre Debian (Ubuntu ...),
la création est directe, que demander de plus ?

Fonctionne sous Debian, Ubuntu ...

Sur ce,
               @+  8)

 Source : Debian facile

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Comptoir / La stratégie du choc
« le: mars 08, 2017, 10:49:42 pm »
Salut a tous,

En ces temps trouble et incertain, un camarade m' a proposé de visionner
un docu, qui date un peu, mais dont le sujet est hélas toujours d' actualité,
je veux parler de " la stratégie du choc".

J' vous livre un résumé :

En 2007, Naomi Klein publiait La Stratégie du choc. Un traumatisme collectif, une guerre, un coup d' état, une catastrophe naturelle, une attaque terroriste plongent chaque individu dans un état de choc. Après le choc, nous redevenons des enfants, désormais plus enclins à suivre les leaders qui prétendent nous protéger. S' il est une personne à avoir compris très tôt ce phénomène, c' est Milton Friedman, Prix Nobel d' économie en 1976.
Friedman, soutenant l' ultralibéralisme, conseilla aux hommes politiques d' imposer immédiatement après une crise des réformes économiques douloureuses avant que les gens n' aient eu le temps de se ressaisir. Il qualifiait cette méthode de traitement de choc. Naomi Klein la qualifie de " stratégie du choc ".
En utilisant de nombreuses images d' archives, Michael Winterbottom et Mat Whitecross démontrent la puissance du texte de Naomi Titre original : The Shock Doctrine.
Bon visionnage ...

https://www.youtube.com/watch?v=Mm8PZFz9T-E

                                      @+ ...



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Comptoir / Le Parlement européen ratifie le traité CETA
« le: février 15, 2017, 03:59:50 pm »
Le Parlement européen a approuvé mercredi le Ceta, un accord controversé de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada. Le texte pourrait entrer en vigueur provisoirement dès le 1er mars prochain en attendant sa ratification par les parlements nationaux des membres de l’Union.

Ce traité, qui doit faire disparaître les tarifs douaniers sur près de 99% des marchandises entre les deux partenaires, a été adopté par 408 voix contre 254 et 33 abstentions.

Un millier d’opposants issus de mouvements de gauche, écologistes et altermondialistes ont manifesté aux cris de “No Ceta” à l’entrée du siège du Parlement devant lequel avait été érigé un “cheval de Troie” gonflable, symbole des risques que ferait peser l’accord sur les normes sociales et environnementales de l’UE.

  @+  >:(

Sources : m6 info, Reuters

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Comptoir / Tracks spécial Cybergpunk
« le: février 14, 2017, 04:39:50 pm »
Salut à tous,

Suite à une mauvaise manip de ma part et à la suite de laquelle j' ai utiliser PhotoRec
pour finalement trouver par moi même une autre manip toute simple
pour récupérer un dossier de vidéos à partir d' un DD en USB, j' ai revisionner avec plaisir un spécial Tracks d' Arte dédié au Cybergpunk.

Pour les fans et les geeks de tout poil, je vous propose ce lien, et pour le plaisir :

! No longer available
                @+  ;)

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Comptoir / Les secrets inavouables de nos téléphones portables
« le: décembre 26, 2016, 09:26:10 pm »
Salut à tous,

Je vais faire peut-être, voir sûrement faire grincer des dents, mais j' assume.
Depuis que je suis passé du côté lumineux du libre, je ne peux plus me taire.
Suite à ce que j' ai vu côté cadeau du Père Noêl, j' ai été révolté, du coup, je poste
ce lien.

                 @+

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Actualité de l'association / Voeux ...
« le: décembre 24, 2016, 09:11:53 pm »
Salut à tous, les geeks ...

Cette année (perso) aura été riche en déconvenue et découvertes informatrucs de toutes sortes, côté sécu et
dans le bon sens du terme côté " white hat".
Vous en dirais plus le moment venu, en attendant, comme on dit chez nous, avec un peu d' avance :

" Nedeleg laouen ha bloavezh mat 2017 "
 
                   @+ ...

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Comptoir / Faut-il refuser les compteurs communicants Linky et Cie
« le: décembre 20, 2016, 01:28:33 am »
Salut à tous,

Par c' que l' usage du libre c' est prendre conscience du monde réel dans lequel nous vivons, j' vais me faire taper sur les doigts mais je prends l' rique, j' me suis dit que cette vidéo  pourrait en intéresser quelques uns ..?

            @ bon entendeur ...

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Information générale / Nantes Rencontre Debian
« le: novembre 24, 2016, 08:32:13 pm »
Salut à tous,

Si comme votre serviteur vous êtes addicte à Debian,
comme le stipule mon intitulé je vous propose de jeter un oeil sur ce lien
Sur ce,
              @+  ;D

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Comptoir / Ghost In The Machine de Ted Lawson
« le: octobre 31, 2016, 12:40:36 pm »
Salut à tous,

Juste pour le fun, ou comment l’artiste newyorkais Ted Lawson n' a rien trouvé de mieux pour se faire remarquer
que de se tirer le portrait avec son propre sang.
Le geste n' est pas nouveau, mais hacker une machine de cette façon, sans moi.
A quand Terminator ..?
L’ œuvre (voir ce lien) est un selfie dans lequel la notion du self, du « moi », n’ est pas que dans le geste mais dans le code : en bidouillant une imprimante dont l’ encre est remplacée par son sang, Ted Lawson alimente le robot qui trace l' image.

Perso, je préfère la méthode classique, mais chacun est libre ...

               @+  :(

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Comptoir / Les algo' rythment nos vies, et ce n'est pas fini
« le: octobre 27, 2016, 09:35:51 pm »
Salut à tous,

Je vous propose une réflexion intéressante d' un journaliste
que j' ai récupéré sur clubic.com

Le nez collé au smartphone, happé par des contenus divertissants sans substance, le citoyen n'a pas vu la nouvelle règle du jeu arriver, selon laquelle l'algorithme décide au mépris des libertés.

Dans La nouvelle servitude volontaire (éditions FYP), Philippe Vion-Dury, journaliste et essayiste, s'attaque avec rigueur et lucidité à la mutation en cours de la société sous l'effet du numérique. Le « futur » tel qu'imaginé par la science-fiction est bien là, mais il n'est pas encore aussi spectaculaire. Et c'est bien pour cette raison, dit l'auteur, que cette révolution est dangereuse. Insidieuse, elle échappe au contrôle politique, n'est que peu remise en cause par les médias, et les algorithmes auto-apprenants deviennent si complexes, qu'ils ne seront bientôt plus compris par personne. À la source, le capitalisme libéral et son insatiable quête de profit pousse les entreprises à plus de rationalité et de rentabilité. Au grand dam de l'éthique et de la liberté, y compris dans les médias.



Interview de Philippe Vion-Dury :

Comment avez-vous eu l'idée de consacrer un ouvrage à ce sujet et pourquoi ?

C'est en lisant un article du Time qui parlait de big data et de Big Brother. J'ai été frappé de voir à quel point on pouvait déjà anticiper les comportements des gens. Ce pouvoir de prédiction m'a semblé inquiétant. Pour moi il y avait un vide sur le sujet, alors j'ai commencé à flairer ce qui n'allait pas. Tout est parti de la publicité ciblée, dont les méthodes de tracking et de prédiction ont été étendues à d'autres domaines. Je me suis rendu compte que nous n'avions pas conscience de l'ampleur de ce phénomène, et que la réalité avait déjà rattrapé la fiction. Par exemple en Chine, avec Credit Sesame : il récompense les bons citoyens en fonction de leur comportement !

Sur la technologie, médias et politiques semblent unanimement enthousiastes, pas vous ?

Le seul débat admis autour de la percée de la technologie, et qui ne soit pas vu comme réactionnaire, c'est celui de la protection de la vie privée. Mais dès qu'on sort de ce sujet, on se confronte vite à la rhétorique voulant que ce qui fait du mal puisse aussi faire du bien... Le politique est pris de court par le développement de l'entreprise.
Il faudrait remettre un dogme en amont pour garder la maîtrise des choses, retarder la sortie de technologies...

Que le législateur soit en retard sur ces innovations pourtant profondes, c'est inquiétant non ?

Le meilleur exemple est la Hadopi, qui s'est attaquée au téléchargement illégal alors que les internautes se mettaient au streaming. Les politiques ont du mal avec ces sujets, on n'est pas formé à l'école. De leur côté, les entreprises font tout ce qu'elles peuvent pour les mettre devant le fait accompli. Une fois qu'un service est bien intégré dans les usages (Uber), c'est là que le débat commence, mais l'entreprise elle, est passée à autre chose.

Est-ce à dire que le politique a abandonné une partie de son pouvoir à l'entreprise ?

Pas vraiment, l'entreprise ne gouverne pas le monde et n'a que les moyens que lui fournit l'État. Mais l'État se place aussi comme tremplin pour les sociétés technologiques (French Tech...) et joue un rôle d'arbitre. Le lobby est légal, rien ne n'empêche de le contrôler... mais ce n'est pas le cas. Le débat est au niveau des institutions.

Laisser l'innovation filer en avant à toute allure, sans contrôle, cela mènera où ?

Nous sommes dans une dictature du pratique, où l'on est prêt à financer une start-up des millions pour gagner quelques secondes, mais sans envisager les effets externes négatifs. Le seul effort resterait d'avoir à appuyer sur un bouton. Vous prenez un VTC ? Il n'y a pas besoin de payer ni de dire bonjour, car tout est automatisé et le chauffeur a déjà votre nom. Dans tout ça on oublie que l'efficacité est propre de la machine, pas de l'humain.

Une fois que toutes les basses besognes seront automatisées, alors que ferons-nous ?

Nous tendons vers une société de loisirs. Comme le disait Spinoza, il y a deux accès au monde : le pouvoir (qui est de faire faire) et la puissance (qui est de faire). Quand on se guide avec un GPS, on ne regarde plus le monde et on perd sa puissance, son contrôle. Et quand il tombe en panne, on est perdu. Dans la technologie, il faut voir ce qui est utile et n'enlève pas trop de puissance. Mais comme tout le monde veut éviter la friction, on optimise !

Dans ce monde personnalisé et automatisé, l'algorithme retire toute notion de hasard...

Des écosystèmes comme Spotify, Netflix ou même Amazon font tout pour nous gaver. Ils affichent les contenus qui sont susceptibles de nous plaire en pondérant cela avec le retour sur investissement attendu. Il n'y a plus de sérendipité. Néanmoins, ces entreprises en prennent conscience, alors elles réintroduisent une dose de hasard... du moins en apparence, car c'est un hasard dans une réalité chiffrée. Le but est de générer du hasard rentable. La dose de hasard est déterminée en calculant ce dont a besoin l'esprit humain pour accepter la nouvelle norme.

Si nos choix sont fléchés vers la seule rentabilité, l'appauvrissement intellectuel guette !

Le sociologue Dominique Cardon pointe un risque de normalisation des comportements, et imagine aussi des outils pour enrichir le savoir humain : des algorithmes favorisant la qualité (éthique, richesse de l'information, impartialité...) et réservés à une élite, là où les autres algorithmes font passer la recherche de profit avant tout, peu importe la qualité. Le capitalisme libéral est modulaire. S'il y a un marché rentable, alors il l'investira.

« L'apparente normalité des choses est ce qui les rend dangereuses. »

Les films de SF n'avaient pas prévu que le « futur » s'installe de façon si insidieuse...

Toutes ces technologies transforment en profondeur la société, alors qu'on ne les voit pas, car ce sont des logiciels et des algorithmes. Il n'y a rien de spectaculaire à voir quelqu'un regarder une vidéo YouTube dans la rue, pourtant, on ne se rend pas compte de ce que cela suppose. L'apparente normalité des choses est ce qui les rend dangereuses... Un robot trop proche de l'homme serait rejeté car trop troublant, alors qu'un smartphone.

Sans robot, pas de « soulèvement des machines », mais une perte de contrôle quand même ?

Oui ! Ces sociétés privées ne dévoilent rien de leurs algorithmes, si bien que Google lui-même a déjà été embarrassé à expliquer comment certains fonctionnent. Au-delà des données recueillies et de comment elles sont brassées, le plus difficile est de comprendre ce qui est déduit de leur analyse (machine learning). Mais si Google lève le voile, il remet en question la concurrence car tout le monde le copiera. L'enjeu est pourtant de taille car en modulant l'affichage des articles dans les résultats, il est capable de renverser une élection ! On a vu que Facebook était capable de pousser des centaines de millions de personnes aux urnes avec ses algorithmes et même de mettre en valeur des actualités favorables à la candidate Hilary Clinton. Le pire est que même l'État ne se montre pas transparent sur ses algorithmes, en refusant d'expliquer comment marche Admission post-bac.

Si le politique lui-même est menacé par ces nouvelles règles du jeu, pourquoi ne fait-il rien ?

Le politique n'agit pas car il n'évolue pas sur la même temporalité. Lui est intéressé au court terme pour sa réélection, Facebook et les autres jouent à l'échelle d'une génération, d'une vingtaine d'années. Et puis les évolutions se font lentement, par paliers, repoussant sans cesse le niveau d'acceptation, ce qui rend la vraie mutation plus difficile à appréhender. Enfin, il n'y a pas de remise en cause possible de la technologie et de ses dérives sans confrontation frontale avec le système qui a enfanté et nourrit tout cela : le capitalisme libéral.

Est-on finalement arrivé à « la fin de l'histoire » de Fukuyama, sans contestation possible ?

Cette fin de l'histoire n'est pas possible selon moi car on aime trop la contestation, on l'a vu avec les VTC. Le problème, c'est que ça ne suffira pas car les gens sont entretenus dans un cocon de confort. Lorsqu'ils rentrent chez eux le soir, ils sont abreuvés de contenus divertissants au détriment de ce qui est important. Le système se nourrit des forces du capitalisme, mais aussi de ses faiblesses. Donc s'il ne crée pas de croissance, il s'effondre. Face à ces changements, je pense qu'il faut donc garder un réflexe critique pour éviter d'être pris pour un con.

Source : clubic.com, le 27/10/2016, par Thomas Pontiroli.

A bon entendeur ...

178
Salut à tous,

Aujourd' hui j' ai assisté à une réunion pro dédiée aux usages des outils numériques, de la tablette à la pomme
pour être plus précis et pour ceux qui me connaissent, pas besoin de vous faire un dessin quant à ma réaction épidermique.
J' ai tenté d' expliquer la nocivité de certains moyens techniques utiliser pour diffuser et communiquer.
La dangerosité des ondes électromagnétiques, des OS et des logiciels privateures.

Malgré mes mises en garde, j' me suis senti seul, vu la réaction de certains collègues, j' ai eu l' impression d' être la réincarnation de "Don Quichotte".

Mon supérieur m' à demandé de lui rédiger une liste de logiciels libres équivalents aux logiciels privateurs de Microsoft et de la pomme pour demain matin.
Je bosse en ce moment dessus, si certains d' entre-vous connaissent "des perles", je suis preneur.

Ce qu' ils veulent :
des logiciels simples d' usage, ergonomiques, libre et gratuit et surtout pour des newbies qui veulent, le beurre, l' argent du beurre, la crémière et la crèmerie, pour ne po dire plus ...
Bref, des trucs ou ils n' auront pas besoin de se prendre la tête, ou il leur suffira d' appuyer ou juste de toucher l' icone ou l' application, c' est selon ...
En attendant, je me permets de vous conseiller la lecture d' un autre ouvrage, je veux parler de :



"L' homme nu", de Marc Dugain et Christophe Labbé

Extrait :

" On les appelle les Big Datas. Google, Apple, Facebook ou Amazon, ces géants du numérique, qui aspirent à travers Internet, smartphones et objets connectés, des milliards de données sur nos vies.
Derrière cet espionnage, dont on mesure chaque jour l'ampleur, on découvre qu'il existe un pacte secret scellé par les Big Datas avec l'appareil de renseignement le plus puissant de la planète. Cet accouplement entre les agences américaines et les conglomérats du numérique, est en train d'enfanter une entité d'un genre nouveau. Une puissance mutante, ensemencée par la mondialisation, qui ambitionne ni plus ni moins de reformater l'Humanité.
La prise de contrôle de nos existences s'opère au profit d'une nouvelle oligarchie mondiale.
1984 d'Orwell parlait d'une dictature violente.
Pour les Big data, la démocratie est obsolète, tout comme ses valeurs universelles. C'est une nouvelle dictature qui nous menace. Une Big Mother bien plus terrifiante encore que Big Brother.
La fin de la pensée grecque est en marche et avec elle une époque de l'humanité est bientôt révolue.
Si nous laissons faire nous serons demain des « hommes nus », sans mémoire, programmés, sous surveillance. Il est temps d'agir.

Par c' que " le savoir n' a de valeur que si on le partage ..."
qu' il n' y est po de méprise, les outils numériques sont une formidable opportunité, mais pour c' qui est de leur usage,
je suis pour un usage raisonné. Visiblement, beaucoup ont oublié que l' outil est un moyen et non une fin ...
J' ai vu cette après-midi ce que décrivait le sociologue Dominique Volton dans ce précédent billet, effrayant.

Juste pour le plaisir, je vous conseille aussi :



Hacker citizen de Geoffrey Dorne, ou créer c' est résister prends tout son sens ...

Histoire de rappeler aussi que certains d' entre nous se battent pour la liberté des autres et
que parfois ils payent le prix suprême, je vous propose "The Internet’s Own Boy" aujourd’hui disponible avec sous-titre en français. Aaron Swartz est un des cocréateurs des Creative Commons, du format RSS et fervent opposant aux propositions des lois SOPA et PIPA, entre autres, et retrouvé mort dans son appartement de Brooklyn le 11 janvier 2013. Brian Knappenberger a retracé son parcours dans ce fabuleux film.

Pour les plus motivés qui auront eu le courage de me lire, comme on dit chez nous,
"devezh mat ha ken emberr " (bonne journée et à bientôt)  ::)



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Tout est dans l' intitulé, voir ce lien
Perso, j' ai signé et vous, avant qu' il ne soit trop tard ...

               @+

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Comptoir / Dominique Wolton, à lire ABSOLUMENT !
« le: septembre 20, 2016, 07:32:13 pm »
Salut à tous,

Parc' que depuis que j' utilise les logiciels libres, j' ai découvert "le côté lumineux du libre" et pris conscience
de beaucoup de chose, pour ceux qui ne connaissent pas, encore, je vous conseille :


" Communiquer, c' est vivre", de Dominique Wolton, édition cherche midi.

Je ne m' étendrais pas sur le sujet, mais je réitère l' intitulé de mon topic,
ce livre est à lire ABSOLUMENT.
"Mais pourquoi tant de zèle" me direz-vous ?
Ben faut lire ... et vous comprendrez.

Je tiens à préciser que je n' ai aucune participation ou intérêt avec la maison d' édition "cherche midi",
sinon le désir de partager afin de réveiller ..?

Un livre décapant sur la comédie humaine de notre époque.
Peut-être, voir sûrement certain d' entre vous ne seront pas d' accord avec les propos de cet entretien, mais peu importe,
sa lecture fait du bien et comme dit l' adage, " y' a pas d' mal à se faire du bien".

        @+

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